I let the Ferrari with all the tears in it, I will never cry for you again
Sculpture en aluminium, câble, mp4, casques en résine époxy, pièce sonore réalisée avec Thioro Thioye, Baptiste Agnero Rigot, 20 min, 2024

“ A travers l’installation, la sculpture, la vidéo et l’écriture poétique, Mehdi Görbüz (1997) s’intéresse aux cultures queer, pop et y2k. Esthétique glamour, références à Internet et archives familiales s’entremêlent dans ses œuvres. Il y réinvestit des symboles qui cristallisent les fantasmes, tels que les voitures, les palmiers ou encore les piscines, dans une perspective critique de l’orientalisme.

Ici, Mehdi Görbüz s’empare de la Mercedes, marque de voiture emblématique associée dans la culture populaire au luxe et à un idéal de réussite sociale, de ce fait particulièrement prisée par certaines diasporas. Ici séparé de tout contexte et suspendu, le logo chromé devient bijou précieux, talisman. La bande sonore diffuse de la musique, comme une réminiscence des trajets en voiture effectués dans l’enfance.” 
Mathilde Badie 



“ Through installation, sculpture, video and poetic writing, Mehdi Görbüz (1997) is interested in queer, pop and y2k cultures. Glamorous aesthetics, references to the Internet and family archives intermingle in his work. He reinvests symbols that crystallise fantasies, such as cars, palm trees and swimming pools, in a critical take on orientalism.

Here, Mehdi Görbüz seizes on the Mercedes, an emblematic car brand associated in popular culture with luxury and an ideal of social success, and therefore particularly prized by certain diasporas. Here, separated from any context and suspended, the chrome logo becomes a precious jewel, a talisman. The soundtrack plays music, reminiscent of childhood car journeys.

Mathilde Badie